Titre français : "Le bal des adieux" (Charles Vidor/1960).
Ce film brode au gros point sur la bio du compositeur Franz Liszt et obtint l'Oscar de ... la meilleure musique .
Mais, enfant passionné de piano, le film m'avait enchanté quand je le vis au Club (ciné de la paroisse d'Antibes si !).
Un improbable nanar où Liszt, pianiste et compositeur, est présenté comme un bellâtre qui tombe les dames de la haute société grâce à son tube "Rêve d'amour"qu'il interprète en faisant des oeillades à la Clayderman.
Mais je donnerais un Michael Bay et un Emmerich (j'en ai, au fait ?) pour le revoir : le film n'a jamais été édité en DVD.
On se demande pourquoi.
Franz Liszt vu par les amerlos (l'acteur anglais Dirk Bogarde qui n'eut aucun mal à faire mieux par la suite).
La chaise délicatement ouvragée est sensée faire "époque"; de même que les jolies bottes en pitchpin repoussé.
Dans la réalité vraie (et authentique), il est exact que les concerts de Liszt déchaînaient les foules, au moins autant que celui de Polnareff au Champ de Mars hier : sa virtuosité, mise en valeur par ses compositions, injouables si l'on n'a pas vingt ans de piano à raison de six heures par jour, faisait s'évanouir (mes sels !) les comtesses parisiennes ("viens dans mon hôtel particulier, chéri, j'ai un Pleyel !") et les princesses russes.
Le beau-père de Wagner (eh oui !), en fin de vie, devint ... prêtre-organiste !
Les ricains n'en parlent pas dans leur film.
La chaise délicatement ouvragée est sensée faire "époque"; de même que les jolies bottes en pitchpin repoussé.
Dans la réalité vraie (et authentique), il est exact que les concerts de Liszt déchaînaient les foules, au moins autant que celui de Polnareff au Champ de Mars hier : sa virtuosité, mise en valeur par ses compositions, injouables si l'on n'a pas vingt ans de piano à raison de six heures par jour, faisait s'évanouir (mes sels !) les comtesses parisiennes ("viens dans mon hôtel particulier, chéri, j'ai un Pleyel !") et les princesses russes.
Le beau-père de Wagner (eh oui !), en fin de vie, devint ... prêtre-organiste !
Les ricains n'en parlent pas dans leur film.
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