Christine Albanel (qui donc ?) est paraît-il ministre de la culture (avec un "c" minuscule, alors).
Outre qu'on se demande ce que fut son action dans le domaine depuis sa nomination, cette dame qui prononce les "é" en "è", très "high society", on reste sidéré par ses interventions télévisées (au journal de F2 hier soir par exemple) au cours desquelles elle se borne à relayer la communication officielle sans jamais répondre aux questions du journaliste de service.
On pourrait donc croire que c'est elle que vise le titre de ce billet.
C'est vrai aussi, mais plus alarmant encore, c'est l'avenir du service public de télévision qu'il veut dénoncer.
Avec la nomination par le pouvoir en place du PDG de France Télévisions, c'est à un retour des pratiques les plus archaïques que l'on va assister.
C'est le retour de la mainmise de la majorité politique sur "l'outil" (le bien nommé !) audio-visuel.
C'est indigne et proprement inadmissible.
A la question de Pujadas sur les licenciements (inévitables) à venir, la ministre ne veut répondre.
Lui demandera-t-on aussi ce qu'il advient du fameux "statut des intermittents du spectacle" en poisson noyé par son prédécesseur ?
4 commentaires:
Albanéle
une sacrèe mijorèe
adepte de la culture de l'imbécillitè
qui ne devrait pas tarder à se faire dègagèe
car on en a ras le bérèt
parce que le bérèt
c'est distinguè
un administè ecoeurè
ou raz ???
"ras", c'est bon !
;-)
La seule force du téléspectateur: sa télécommande !
A Antibes on tient le coup
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