Longue et intéressante conversation téléphonique avec Hugues de Courson, musicien-arrangeur-alchimiste qui a produit, au sens littéral, des disques mêlant astucieusement musique dite "classique" et musiques du monde.
Le premier volume de "Mozart l'égyptien" ou darboukas et instruments du cru entrent en fusion avec les plus belles pages du compositeur, a connu un succès sans précédent.
Outre que nous partageons les mêmes idées politiques, nous avons, semble-t-il, la même approche de la musique.
Il était normal que s'opère ce rapprochement.
Hugues a "sorti" une série d'albums selon le même principe dont une "fantaisie" autour de l'oeuvre de Vivaldi et des musiques celtiques d'Irlande proprement étonnante.
On lui doit également un" Lambarena" qui emmène Bach sur des pistes africaines qu'il ne pouvait imaginer.
Un travail d'orfèvre qui réussit le tour de force de ne pas dénaturer les oeuvre originales.
A conseiller aux imbéciles qui font la "grille" de Radio Classique (voir billet précédent).
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