"Un jour ou l’autre, tout de même, il faudra bien qu’ils s’expliquent. Tous les confrères journalistes qui, avant l’élection, côtoyaient quotidiennement Sarkozy ; tous ceux qui le retrouvaient au petit matin dans les salles d’embarquement, faisaient cercle autour de lui dans les avions privés, recueillaient ses humeurs et ses confidences ; tous ceux qui essuyaient ses colères, ses caprices et ses plaisanteries ; tous ceux-là, vraiment, n’avaient-ils rien vu ?"
La suite ici.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire