Jamais, depuis Chirac en 1996, la chute dans les sondages de l'indice de satisfaction envers un président de la République n'aura été aussi brutale.
Selon François Miquet-Marty, de l'institut LH2, "le fiasco du choc de confiance provoque en retour un véritable un choc de défiance qui, à 5 semaines des municipales, sème la panique chez les candidats de l'UMP."
Selon le même analyste, "les «désenchantements constatés» finissent par donner «le sentiment d’une imposture»."
Je me garderai bien d'en jubiler, tant, a contrario, savoir les rênes du pouvoir confiées à ce personnage m'attriste au plus haut point.
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