Vladimir Horowitz (1903-1989) fut un pianiste extraordinaire, au point que sa consœur Clara Haskil le surnomma le "Satan du clavier".
Charismatique à l'extrême, ses rares concerts furent à chaque fois un évènement quasi-planétaire :
c'est en public que cet ukrainien en exil se surpassait, repoussant les limites de la technique pianistique, s'impliquant à fond dans les œuvres qu'il visitait en profondeur avant de les livrer aux mélomanes.
On le voit ici en fin de vie, toujours en pleine possession de sa virtuosité.
J'ai montré cette séquence jeudi dernier à de tout jeunes élèves, subjugués :
Horowitz plays Carmen Fantasie (Bizet-Horowitz)
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