A la Fnac, on peut se procurer pour 10 euros le double CD d'Aldo Ciccolini de la série "Les rarissimes" (EMI), qui contient l'intégrale des "Années de pélerinage" dont ces fameux "jeux d'eau".
En prime, les "Consolations".
Du très grand art.
J'ai récemment recommandé le récital Liszt d'Arkadi Volodos ; je ne m'en lasse pas.
Au passage, je rappelle que la Sonate en si mineur du même Liszt est la clé de voûte du piano moderne.
C'est mon avis ; et je l'approuve.
Ciccolini, c'est trop trop bien !
Quand j'étais petit et que ma mère me disait : "coiffe toi un peu avant de sortir !", je répondais invariablement : "c'est bon, on va pas au récital de piano Aldo Ciccolini !"
Et pour cause : pour aller écouter Aldo au festival de Menton, l'une de mes premières expériences de musique vivante, j'étais habillé comme un premier communiant et coiffé savamment avec la raie sur côté et du Pento pour domestiquer les tifs récalcitrants.
J'ai récemment acheté du Pento.
Juste pour m'enivrer d'un parfum d'enfance.
Ecoutez Liszt, ça sent bon !
Et pour cause : pour aller écouter Aldo au festival de Menton, l'une de mes premières expériences de musique vivante, j'étais habillé comme un premier communiant et coiffé savamment avec la raie sur côté et du Pento pour domestiquer les tifs récalcitrants.
J'ai récemment acheté du Pento.
Juste pour m'enivrer d'un parfum d'enfance.
Ecoutez Liszt, ça sent bon !
1 commentaire:
Tu ne dors donc jamais ?
Continue, il déchire ton blogue !
Un ex-élève qui joue.
Très loin.
Nick.
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