Juin est l'un des mois où la charge de travail se fait plus pesante sur mon semblant d'épaules.
L'élaboration des auditions d'élèves à venir a occupé la majeure partie de ma journée.
Un œil sur la télévision pour voir Nadal mettre la pâtée à Djokovic, l'autre sur l'écran envahi de centaines de noms à ordonner pour le programme des 6 séances à venir.
L'avantage, c'est qu'aujourd'hui, je n'ai pas eu le temps de penser à Nick Sark ou à ses ministres.
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