Ca ne manquera pas de vous surprendre : à Rome, il y a plein de touristes.
Le jeu consistera donc à éviter les agglutinations de bipèdes cornaqués par des guides pressés d'arriver au moment crucial, celui du pourboire.
Peu de français pendant mon séjour, ce qui tombe très bien : je sais pas pourquoi, mais depuis le 6 mai, je ne les supporte plus !
Foultitude en revanche de germains et d'américains, ces derniers ayant envahi l'Europe cette année plus que de coutume au cas où, parisiens ou azuréens, vous ne vous en seriez pas aperçus.
Au milieu, il y a des romains qui, contrairement à l'idée reçue, sont, je l'ai noté, plutôt mal habillés, sans goût, sans recherche aucune, à l'inverse des milanais qui les détestent d'ailleurs cordialement, Rome étant la capitale administrative de l'Italie.
D'où l'expression "Romains, têtes de chiens, romanos têtes de veaux".
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