Tout d'abord, si vous vous intéressez (ou non, d'ailleurs) à l'exercice du pouvoir, le très bon film de Paolo Sorrentino, "Il Divo" sur Giulio Andreotti (prodigieux acteur que Toni Servillo !), qui battit le record de longévité politique, traversa stoïquement périodes noires et scandales sans que rien ne semblât l'atteindre.
Un très grand moment que ce portrait sans concession de ce personnage peu sympathique.
Le problème étant que notre "chaîne culturelle" diffuse ses films de début de soirée en version doublée !
(Lundi 28 à 20h40)
150 ans d'histoire de l'Italie, ça, c'est passionnant !
Première partie mercredi 30 du documentaire de d'Enrico Cerasuolo intitulé "De Garibaldi à Berlusconi".
Je ne sais plus si je joue ce soir-là ; dans ce cas, je l'enregistrerais.
Il Divo (ou l'art de la manipulation)
Quand tout va mal ou trop bien (car on peut souffrir d'aller trop bien, je le prétends en connaissance de cause, si !), une petite cure de chanson italienne est une auto-médication salutaire.
Toujours sur Arte (jeudi 1er décembre à 22 h 40), un documentaire d'Emmanuelle Nobécourt nous conte l'histoire de ce sens inné de la mélodie et du beau chant de nos voisins transalpins, depuis l'origine, à Naples, jusqu'aux grands noms de la "canzone" des années 70 (Battisti, Celentano, Modugno, Ranieri...).
Si Mina n'y est pas, je jette ma télé.
Tiens, cette chanson "tube" des années 60, allez, c'est pour toi :
2 commentaires:
Documentaire bien trop succinct et forcément incomplet. Il eût fallu au moins quatre à cinq heures de docu pour pouvoir en comprendre l'évolution et les différents impacts. Quelques surprises. Cela dit, fort heureusement, quelques détails sur Lucio Battisti, bien que la carrière survolée, et un générique de fin sur "E penso a te", massacré. Bon. Tristoune quand même. Mina se résume à "Se telefonando". Ouille.
Merci SalveRegina : j' t'ai reconnue, Régine !
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