Les choristes posées dans le décor ont des airs de vestales avant le sacrifice.
On perçoit pourtant la magie de cet instant de grâce : Glenn Gould est encore un jeune homme qui entreprend une longue quête ; pendant les années à venir, il va cesser définitivement de jouer en public, obsédé par la recherche du son idéal.
Il joua de l'orgue et du clavecin ; ceci explique peut-être cette sonorité qui n'appartient qu'à lui, unique au monde.
Aurait-il supporté la vie si Bach n'avait pas existé ?
2 commentaires:
En tout cas, ma vie à moi aurait été meilleure si Gould n'avait pas existé.
Pique du matin n'augure pas de demain !
Et si ce billet était une "pique de la nuit" ?
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