Je me souviens de ma première vision des "Aventuriers de l'arche perdue" à l'Olympia, à Cannes, sur un écran géant avec un son 6 pistes.
Une suite de moments de jubilation, d'effroi, de répulsion (insectes et reptiles divers), un cinéma-spectacle dans toute sa splendeur qui, de surcroît, grâce à un scénario travaillé, ne prend pas le spectateur pour un imbécile.
J'ai revu, hier, le 3ème opus, "Indiana Jones et la dernière croisade" : tant d'années après, le charme demeure, Indy a toujours le même charme et, en plus il y a Sean Connery.
Spielberg, qu'on voyait hier interviewé à Cannes avec, dans l'oeil, ce petit pétillement enfantin qu'il a su entretenir, est un cinéaste d'utilité publique.
Il nous prépare un Tintin qu'on attend avec impatience.
On ira voir le nouvel Indiana Jones sur maxi-toile, dans la meilleure salle possible dès mercredi.
Joli titre de critique (positive) dans Libé ce matin : "Spielberg redonne un coup de fouet au cinéma de papa."
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