L'animateur des "Grosses têtes" bien connu dans le métier pour son amabilité et la considération qu'il porte aux jeunes humoristes (il ne rit que de ses propres plaisanteries) dont certains ont eu beaucoup de mal à s'en remettre, est sans nul doute le symbole d'une beauf-France, lui qui se prend certainement pour un homme de lettres.
Ce personnage imbus de lui-même a dû se rengorger maintes fois sous les hommages du cireur de pompes n°1 des médias, le sieur Stéphane Bern, toujours prêts à servir la soupe aux supposés "puissants".
Bouvard, dans la France de Pompidou, en précurseur d'un Fogiel, représentait le summum de l'irrespect alors qu'il n'était qu'un sceptique préoccupé uniquement de lui-même.
On a le droit de lui préférer le Jacques Martin de l'époque giscardienne qui, lui, hélas, est vraiment mort.
Ah, j'oubliais : avec cette émission, France 2 a battu Tf1 : bravo !
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