Même Arte y va de sa soirée-hommage à Michael Jackson, dit Bambi, dit Peter Pan, chanteur-danseur-show man du 20è siècle essentiellement.
Serais-je devenu sec que, finalement, la disparition du roi de la pop m'indiffère peu ou prou ?
Je crois plutôt qu'hors l'artiste, respectable et, en tout cas dans les débuts, bluffant, l'être humain ne m'inspirait guère de sympathie ; et pas seulement à cause de ses supposées déviances (car, dites-moi si je me trompe, il fut acquitté des accusations portées à son encontre).
Non, simplement, hors de ses remarquables prestations scéniques ou clipesques, l'interprète de Billie Jean semblait complètement déshumanisé, peu "aimable" dans le sens entier du terme.
Sans doute parce que, dans ma première réaction à la mort de Jackson, j'évoquais Mozart (lire plus bas), des internautes sont arrivés ici en tapant sur leur clavier, si, si, je vous le jure, les termes suivants : "Michael Jackson, Mozart du 20è siècle ?".
Le point d'interrogation faisant partie de ces "mots-clé" atténue tout de même la bêtise crasse de cette formulation.
Et l'on retiendra de tout cela que Wolfgang a vendu beaucoup moins de disques que Michael.
En deux siècles et demi, trop nul !
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