Frédéric Chopin exerce, à travers les époques, la même fascination sur les âmes dotées d'un minimum de sensibilité.
Les jeunes pianistes sont comme aimantés par cette "1ère ballade" qui reste "le" morceau de bravoure préféré de nombreux grands interprètes.
Ici, Arturo Benedetti Michelangeli (début des années 60) la joue sans se la jouer : sobriété, précision maniaque, aucune affèterie tant le texte se suffit à lui-même...
Une leçon de très grand pianisme.
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