Etrange (et dangereuse) politique étrangère de notre freluquet en chef : assoiffé de cette "rupture" en gargarismes narcissiques quotidiens, le roitelet tourne le dos à une politique d'exception française en vigueur de De Gaulle à Chirac, en passant par Mitterrand.
Le retour dans le commandement intégré de l'Otan (ça c'est pour Georges) et le refus d'y accepter Ukraine et Géorgie (ça, c'est pour Vladimir) font de notre grand homme le caniche de Bush et le yorkshire de Poutine à la fois.
Le "grand Charles" doit sauter dans sa tombe comme un cabri.
Quant à la mission humanitaire pour sauver la malheureuse Ingrid Betancourt, on a honte.
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