Temps de chien.
Après un dimanche tout bleu (brunch avec Mag au bord de l'eau, Quai de Seine) et très chaud (ciné climatisé ensuite), le temps est revenu ce matin à ce qu'il n'a pratiquement jamais cessé d'être cet été : il pleut.
Ratatouille.
Je reviendrai plus largement sur le film que tout le monde va voir en ce moment.
Cet agréable spectacle donne en tout cas envie de se mettre en cuisine.
Aux aurores je me suis mis en quête de nouvelles recettes à la mode italienne.
Mon ami google m'en a traduit une.
Voilà :
"Le guanciale est dadini coupé. Une cuillère d'huile est très chaudement lentement mis vergine supplémentaire d'olive dans un poêle et rosola le trito un du guanciale. Quand le guanciale est très rosolato met a mannered l'oignon, la tomate et le poivre de piment, à la difficulté de les sait et elle laisse faire cuire pour approximativement 10 minuteren. En même temps le bucatini de lessano dans abondant l'eau et eux de salata sont vidangés très « à la dent ». Ils sont jetés dans la poêle de la sauce et ils sont faits au mantecare une certaine seconde au feu vivant. Ils vont vous utilisation avec une époussetés du grattugiato de pecorino"
Merci google.
Oh mon bateau oh oh oh !
Les vacances de Sarko aux "states" font polémique.
Vous vous reporterez à la presse du jour pour les détails.
Comme au temps de l'escapade maltaise et du yacht de Bolloré, l'hyper-président joue de la pipolisation comme d'un violon bien accordé, à grands coups d'indignations sur le mode "laissez-moi passer tranquillement mes vacances en famille dans la maison que des amis m'ont prêtée après l'avoir louée exprès pour moi (fume, c'est du belge !) et pas de photos, je vous en supplie", allant même jusqu'à accoster l'embarcation de deux paparazzi dans le genre "retenez-moi ou je fais un malheur" où l'impressionnante stature de l'imperator fout un frousse bleue aux photo-reporters...
Ridicule.
A part ça, le Président (la fonction exige la majuscule, la fonction grandit ?) ne quitte toujours pas ses lunettes noires pour nager.
Pour qu'on ne le reconnaisse point.
Helvète underground
Normalement, si tout va bien, j'ai un nouveau lecteur suisse, un ami retrouvé par la grâce des "pages jaunes" (merci La Poste).
Il aime Polnareff et Sarkozy (il est suisse, vous dis-je !), ce qui est parfaitement compatible.
Il me pardonnera cette manière ironique de lui souhaiter la bienvenue ici.
Et dira sans doute que je n'ai pas changé.
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