Trois jours intenses entre spectacles et libations (raisonnables tout de même).
Je ne sais comment ça c'est passé pour vous, lecteurs, mais, en ce qui me concerne, ce passage d'une année à l'autre me restera en mémoire : j'y ai fait le plein d'amitié et de tendresse, de quoi tenir quelque temps : que voulez-vous, ce sont des choses dont on a soif en permanence ; il y a des moments où l'on voudrait que tout se fige, où l'on aimerait appuyer sur un bouton "pause" virtuel pour arrêter le temps.
Las, c'est le bouton "play" qui finit par l'emporter, et il faut laisser le film reprendre son cours.
Je ne me plains pas : c'est un beau film, avec de belles couleurs et une musique envoûtante, en flamboiements baroques.
Les vrais amis sont toujours au rendez-vous de ces fêtes "obligatoires" : un petit message, une attention, un coup de téléphone ; même si ces traditions un peu convenues ne m'exaltent guère, j'avoue que ces attentions me touchent : une voix amie, chaude, qui vous souhaite le meilleur pour une année entière, c'est bien agréable à entendre.
Comme à l'accoutumée, je n'ai pas répondu aux messages de vœux "globaux", de ceux que l'on lance distraitement à tout son carnet d'adresses, par mail ou par sms : leurs auteurs ne s'en rendront même pas compte.
Il y a là une sorte de goujaterie qui me hérisse.
Mieux vaut ne rien envoyer.
Ce qui ne m'empêche pas de formuler des vœux de plein bonheur à vous qui me lisez à cet instant, amis connus ou inconnus, et surtout de vous remercier pour vos visites sur cet immodeste "blog" où j'essaie de transmettre mes goûts, mes passions, mes coups de cœur, mes délires et mes colères.
Sobre et de bon goût : on la retourne, il neige et on peut m'entendre jouer "Love Story".
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