J'adore le poulpe !
Effet fish-eyes de Paul Adam, le photographe des stars
Une soirée réussie*
Après le spectacle de mercredi, conversation au bar du Caveau avec un couple de suisses de Lugano.Je n'en parlerais pas si la dame n'était une camarade de classe de Massimiliano Pani, lequel n'est autre que le fils de la plus grande chanteuse du monde et de partout ailleurs, à savoir MINA Mazzini !
Elle m'a promis de faire en sorte qu'il me contacte, car j'ai deux mélodies pour elle dans mes tiroirs : on a le droit de rêver, non ?
Après ce moment d'émotion, tapas et vin de Rioja à côté de l'Alhambra où Karine Lyachenko joue dans l'ineffable "Pauvre France" aux côtés de Bernard Menez (si !).
Discussion passionnante avec Jean-Claude, le propriétaire de cette belle salle de 600 places habituellement dédiée à la musique (Lady Gaga adore s'y produire).
Nous avons le même âge, Jean-Claude et moi et avons fréquenté les mêmes lieux et croisé les mêmes personnalités dans notre jeune temps.
A notre table, avec Karine, Hugues Le Forestier, boss du Kavo, Paul Adam, camelot scénique, et, je me pince (!), Eric Damain qui fut l'une de mes idoles de jeunesse : à 10 ans il fit pleurer la France entière en interprétant le rôle principal du feuilleton (on ne disait pas encore "série") Jacquou le Croquant.
Nous avons une discussion sur l'impact que pouvait avoir ce genre de film du point de vue social : Stelio Lorenzi, le réalisateur, fut un très grand de la télé publique ; il n'était pas de droite, et ça se voyait !
Pour une fois je suis rentré fort tard, heureux d'un sacré bon moment passé "entre artistes".
- Au centre Eric Damain enfant dans Jacquou le Croquant -
* Je me suis vachement foulé pour le titre.
1 commentaire:
Je confirme, j'y étais, c'était super sympa.
L'homme de Picardie
Enregistrer un commentaire