Cette production hollywoodienne n'est certes pas le chef-d'oeuvre du siècle, mais elle est en partie à l'origine de ma passion pour la musique.
Dirk Bogarde, bien des années avant Les Damnés ou Mort à Venise, y campe un Franz Liszt très "latin lover".
Dans ma boîte aux lettres, samedi, un paquet sans aucun repère m'attendait, contenant le DVD, introuvable en France.
Que le généreux donateur se dénonce !
Et qu'il soit remercié mille fois.
Dirk Bogarde fut doublé par le grand Jorge Bolet pour les parties piano.
Une affiche du film trône dans l'entrée de mon appartement parisien.
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