[-Tu voteras pour elle ?
-Au second tour, évidemment. Pour le premier, je me tripote encore un peu, mais au train où le furieux d'en face aboie ses discours de guerre civile, ça ne devrait plus durer très longtemps.]
[Quand, gare du Nord, Nicolas Sarkozy en joue comme d'une grosse caisse pour ponctuer les menteries de ses officines, 68 se redécouvre une raison d'avoir été.]
Extrait du "Pierre Marcelle" du jour, dans Libé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire