L'empreinte est vive de ce que j'y ai vu, ressenti. On peut, on doit, certes, entrer, visiter musées et basiliques, mais on reste émerveillé de l'art qui vous attend au détour de chaque rue, de ces mille détails qui savent capter le regard de qui sait voir.
Et je n'ai pas su tout voir. Ce qui rend impérieux le devoir d'y retourner.
Le Persée de Benvenuto Cellini, dans la Loggia dei Lanzi m'a donné l'envie de me replonger dans la "Vie de Benvenuto Cellini écrite par lui-même", l'autobiographie de référence de la Renaissance.
Surgit l'imposant Palazzo Pitti (que mon objectif ne peut embrasser dans son entier). A visiter la prochaine fois.
Santa Maria Novella recèle des trésors à couper le souffle. La piazza du même nom fut, jusqu'à une époque récente, un terrain propice pour les voleurs. On l'a réaménagée, y installant des kiosques qui ne dépareillent pas : on peut s'attabler pour déguster un "panino" énorme à la "porchetta" et diverses spécialités toscanes.
La statue de Dante, Piazza Santa Croce (que j'aime ce lieu !)
Un détail du fronton de Santa Croce : il faut du temps pour tout admirer...
Marionnettes sur cette même place où la jeunesse du coin se réunit : des groupes s'y rassemblent à même le sol, conversant, chahutant sans excès, conscients du caractère historique des lieux.
Sur l'Arno, à quelques brasses du Ponte Vecchio, un homme, dans cette embarcation (en bas à droite). Je suis intrigué : jour aprés jour, je remarque sa présence, immobile...
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