Certains feront la fine-bouche : académique, lénifiant...
Nous, nous avons marché, versé la petite larme (au moins), mon jeune voisin découvre le film, bouleversé : Cinema Paradiso (1988), outre qu'il est aussi un hymne au cinéma, n'a rien perdu de sa puissance mélodramatique.
Formidable Philippe Noiret, en vieux projectionniste transmettant sa "ligne de vie" à Salvatore, son petit protégé, bande originale inoubliable du grand Morricone, tableau émouvant de la Sicile d'après-guerre, jolie romance sentimentale, sont autant d'ingrédients savamment dosés pour nous faire passer un grand moment de cinéma.
Tornatore ne fit jamais aussi bien. Qu'il soit tranquille : Cinema Paradiso suffit à sa notoriété, légitime : son film connut un succès international et reçut l'Oscar du meilleur film étranger.
Le Maestro Ennio Morricone dirige le thème du film aux arènes de Verone :
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