Ce n'était pas, de loin, la meilleure chronique de Stéphane Guillon : pour tout dire, l'entendant, je trouvai que Stéphane se laissait aller à quelques facilités, tout ce qu'il affirmait quant au cas "Besson" semblant couler de source.
Le chroniqueur avait choisi l'angle de la caricature pour ses minutes matinales consacrées au champion de "l'identité nationale" dont on sait les ravages qu'elle a provoqués dans le climat politique actuel.
On eut droit, sitôt après, aux commentaires du ministre en indignation programmée, puisqu'on apprend aujourd'hui que la mise au point de Besson et les excuses de Radio France avaient été négociées préalablement avec Jean-Luc Hees, patron de l'organisme public, dont on n'oubliera pas qu'il fut nommé directement par Sarko.
Que la chronique ait été ou non excellente, on défendra sans réserve le droit à la caricature comme on le fit, il y a peu pour les caricatures de Mahomet dans un "Charlie" dirigé alors par un certain Dominique Val, lequel, sur cette "affaire Besson/Guillon" est demeuré étrangement silencieux.
Et tiens, allez, c'est ma tournée :
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