dimanche 18 février 2007 que je copie ce soir...
Papon
Je n’ai pu me retenir de faire rire avec Papon hier soir au théâtre.
J’en conçois quelques regrets après coup : je n’ai pas coutume de me réjouir d’un décès, quand bien même s’agit-il de celui d’un personnage aussi répugnant.
Le cirque médiatique autour de l’exécution de Saddam Hussein, tout récemment, m’a mis très mal à l’aise.
La môme (encore !).
Regain d’affluence au Père Lachaise autour de la tombe d’Edith Piaf et brassées de fleurs fraîches, dû sans doute à la sortie du film et au battage médiatique qui l’entoure.
L’employé du cimetière déclare au « Journal du dimanche » : « il n’y a plus personne chez Jim Morrison ».
Je préconise un Top 50 des sépultures.
L’été dernier avec l’ami Socrate, lors d’une balade en Ile de France, visite du petit cimetière de Dannemois où repose, après s’être tant démené, le chanteur Claude François.
La tombe serait discrète sans la présence d’une statue de bronze, monument d’art pompier, érigée par des admirateurs belges.
Papon
Je n’ai pu me retenir de faire rire avec Papon hier soir au théâtre.
J’en conçois quelques regrets après coup : je n’ai pas coutume de me réjouir d’un décès, quand bien même s’agit-il de celui d’un personnage aussi répugnant.
Le cirque médiatique autour de l’exécution de Saddam Hussein, tout récemment, m’a mis très mal à l’aise.
La môme (encore !).
Regain d’affluence au Père Lachaise autour de la tombe d’Edith Piaf et brassées de fleurs fraîches, dû sans doute à la sortie du film et au battage médiatique qui l’entoure.
L’employé du cimetière déclare au « Journal du dimanche » : « il n’y a plus personne chez Jim Morrison ».
Je préconise un Top 50 des sépultures.
L’été dernier avec l’ami Socrate, lors d’une balade en Ile de France, visite du petit cimetière de Dannemois où repose, après s’être tant démené, le chanteur Claude François.
La tombe serait discrète sans la présence d’une statue de bronze, monument d’art pompier, érigée par des admirateurs belges.
Le mauvais goût de cette « chose » insulte la sérénité de ce lopin de terre, au cœur d’un village dont les célébrations annuelles des « fans » doivent troubler quelque peu la tranquillité.
Allez-y (je plaisante !) en août : nous n’y rencontrâmes qu’une famille de « ch’tis » en goguette déçus de ne pas avoir accès au « moulin », ancienne demeure de l’idole foudroyée (comme on dit dans « Le droit de savoir ») fermée au public précisément ce jour-là.
J’imagine qu’après la sortie de « Podium », on constata une hausse des entrées au cimetière de Dannemois.
On dirait le sud.
Allez-y (je plaisante !) en août : nous n’y rencontrâmes qu’une famille de « ch’tis » en goguette déçus de ne pas avoir accès au « moulin », ancienne demeure de l’idole foudroyée (comme on dit dans « Le droit de savoir ») fermée au public précisément ce jour-là.
J’imagine qu’après la sortie de « Podium », on constata une hausse des entrées au cimetière de Dannemois.
On dirait le sud.
Direction Montpellier pour devoirs de famille : beau temps et températures printanières à Paris ; Montpellier sous la pluie à l’arrivée.
Nous joindrons l’utile à l’agréable, le plus important étant un saut à Sète pour déguster une « bourride à la sètoise ».
La bourride est une sorte de bouillabaisse en moins … léger.
Elle se prépare généralement avec de la lotte qui baigne dans une sauce aïoli, accompagnée de
pommes de terre.Nous joindrons l’utile à l’agréable, le plus important étant un saut à Sète pour déguster une « bourride à la sètoise ».
La bourride est une sorte de bouillabaisse en moins … léger.
Elle se prépare généralement avec de la lotte qui baigne dans une sauce aïoli, accompagnée de
C'est la spécialité de cette Sète, sept fois chère à Brassens et à Paul Valery.
J'y étais mais ... pas de bourride.
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