Le miracle vénitien, c'est qu'il reste toujours des lieux à découvrir, comme ce quartier du "Castello", moins encombré de touristes, authentique, où je me suis enfoncé un matin, après une promenade dans les "giardini" qui bordent la lagune.
Il y a du linge aux fenêtres, pincé sur des cordes doubles qui coulissent grâce à des poulies.
Le marchand de primeurs ne quitte pas son embarcation pour vendre ses produits.
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