en cette période chargée en événements de toutes sortes, j'ai oublié d'enregistrer, dimanche dernier, le film de Vicente Minnelli "Thé et sympathie", témoin de la difficulté d'être ce que l'on était dans l'Amérique profonde des années 50 avec la grande Deborah Kerr.
J'en aurais sûrement fait une longue chronique...
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