I am débordède, but...

Ce mois de juin est redoutable où ma charge de travail est décuplée, partagé que je suis entre la fin d'année scolaire à l'Atelier (auditions, goûters, réinscriptions, recrutement de profs), les quelques représentations au Caveau (5 cette semaine tout e même) et la préparation du Fieald à l'ancienne du 13 juin pour lequel il faut que "j'assure" afin de ne pas décevoir les "fans" de la première heure : ça promet, car se succèderont les diverses équipes d'animation (dont Les Voilà, bien sûr) mais aussi quelques "guest stars" surprises (je sais mais je ne dirai rien !) : bref, si vous ne sortez qu'une fois cette année, c'est au Trévise qu'il faut être ce soir-là.

En fond sonore à la maison pendant que j'écris, le dernier album de Françoise Hardy que l'on vient de m'offrir.
J'aime bien le couple Dutronc-Hardy en survivance d'une époque révolue totalement dingue.
Finalement, si je résume à Julien Clerc, Benjamin Biolay et la Françoise, j'écoute beaucoup de musique pour bobos ; c'est mieux, somme toute, que de la musak pour gogos.
Sinon, sur mon pick-up (j'adore cette phrase désuète que je suis en train de taper) tourne surtout de la musique classique : Bruckner, Mahler, Brahms, tous ces musiciens pas spécialement guillerets qui rassérènent au plus haut point.

J'ai écouté Noam Chomsky, invité exceptionnel de Taddei hier soir sur France 3.
Présenté comme "le penseur le plus célèbre du monde" (c'est fou ce besoin de slogans et de phrases définitives) : tout en réflexion, en observateur impitoyable de notre "civilisation" désolante, Chomsky doit écouter beaucoup de Bruckner, de Mahler et de Brahms.
Passionnant.

Il va pleuvoir.