On est à mille lieues du ramequin de cacahuètes salées, peu hygiéniques au demeurant et à fuir en période d'épidémies diverses, servi en nos rades parisiens.
L'aperitivo, devenu là-bas quasiment institutionnel, réserve toujours d'agréables surprises gustatives.
Celui qui nous fut servi dans le patio de l'Hôtel de Russie, un luxe il est vrai, fut un véritable "regalo"* comme celui du "caffè" qui fait presque face à la Villa Medici.
François Simon était romain en même temps que moi et relate dans son blog des agapes mémorables en ce même hôtel de prestige qui jouxte la Piazza del Popolo.
Le "popolo" n'est pas convié à ce genre de festivités gustatives.
Dans le patio, les "blackberry" trônaient sur toutes les tables où émergeaient en injonctions des sacs LV, authentiques ceux-là, qui pullulaient dans cette belle enceinte réservée aux VIP.
Où l'on peut croiser le "critique incognito".
* Eh non, "regalo" signifie "cadeau".
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