Grande émotion, grâce à la haute-définition, de revoir ce chef-d'oeuvre absolu qu'est Barry Lyndon tel que je ne l'avais jamais vu, à savoir des conditions optimales que seules les meilleures salles de cinéma purent offrir à leurs spectateurs lors de sa sortie en 1975.
Je ne reviendrai pas sur le contenu, déjà analysé ici, qui en fait un film universel sur la montée en puissance et la déchéance d'un homme, que je classe au plus haut de mon Panthéon personnel.
La forme, à elle seule, suffit à faire de l'oeuvre du grand K. une suite ininterrompue d'émotions visuelles qui laisse sans voix, prouvant que le cinéma est bien évidemment un art ; et M. Kubrick est son prophète.
Ryan O'Neal
Marisa Berenson
1 commentaire:
Là nous nous rejoignons sur ce film, qui fait partie de mon top absolu avec l'"Ivan" d'Eisenstein...
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