Jamais je ne m'en lasserai, d'autant que cette version met en communion deux immenses musiciens : le pianiste Michelangeli (rusé lors du trille final, réputé périlleux !) et le chef "atypique" Sergiu Celibidache.
Parfait pour lire ou écrire la nuit.
C'est tout (excusez du peu !) pour ce jeudi, grosse journée.
2 commentaires:
C'est beau ! Mais dieu que les bois manquent de douceur ! C'est avec Munich ou un autre orchestre ?
Tout à fait d'accord pour la dureté (et ce trille !!!): c'est le LSO.
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