Le journal de Sylvian Coudène.
Humeurs, humours, musiques, cinéma, et autres libertés provisoires.
"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)

mercredi 30 septembre 2009

Cadeau

Dietrich Fischer chante Schubert - Der Erlkönig :

mardi 29 septembre 2009

Patchwork

Catastrophe !

Lara Fabian au Zénith, c'est complet.
Et moi qui crevais d'envie d'aller voir celle qui proclame par affiches :
"Toutes les femmes en moi font leur show !".
Je suis inconsolable.



New Herald Tribune ?!


Revu hier soir A bout de souffle (le vrai, celui de Godard).
Cinquante ans après, le film donne toujours une leçon de modernisme absolu.
Belmondo y incarne un voyou en mode Pierrot (pas encore fou) lunaire* amoureux d'une Jean Seberg à croquer, chaque plan est une surprise, la bande sonore mêle jazz et Mozart ; bref, c'est LE film dévastateur des années soixante, un magistral coup de plumeau sur le cinéma français ronronnant d'alors.

* Le formidable Louis Garrel a vu ABDS combien de fois ?

Bonjour les enfants !

Le secrétaire truc-machin de l'UMP, Xavier Bertrand était l'invité de la matinale de France Inter aujourd'hui.
Après une douche froide administrée par Stéphane Guillon, il y eut une passe d'armes entre ce politique et Demorand, peu décidé à lâcher le morceau et luttant de pied ferme contre la langue de bois de l'ex-ministre, zélé thuriféraire du président.
Ce fut un bon moment de radio.

Vocalises

Chic, dans huit jours, comme chaque premier mercredi de mois, les sirènes retentiront à midi.
Si tu vas pas à Lara, Fabian viendra à toi.

lundi 28 septembre 2009

From mi touyou


A bas les biteulsses !

Cynisme alimentaire

Photo F.Simon

François Simon a osé : il est allé "bouffer" au KFC.
Il narre en quelques mots cette expédition ici : beurk.

Beatles remas(sacrés)térisés

Avouons que c'est nettement mieux que l'original :

dimanche 27 septembre 2009

samedi 26 septembre 2009

jeudi 24 septembre 2009

A voir au théâtre

Du thym de la garrigue

Le mot du jour : "coupables".

Il s'avère qu'incidemment, j'ai écouté hier soir Sarko ; une partie du moins, faut pas* exagérer.
Juste assez cependant pour m'étouffer quand je l'ai entendu dire que (Clearstream) les "coupables étaient devant la justice" !

Je ne suis pas le seul, au lu de la presse du matin, à être sidéré que le premier personnage de l'état bafoue ainsi tous les principes qui régissent la justice : indépendance de la magistrature, présomption d'innocence, etc.

Estomaqué, je suis.

*faut pas : expression sarkozienne signifiant "il ne faut pas".
D'ailleurs, le gars a commis hier soir un sacré faux pas.

mercredi 23 septembre 2009

Enfin :

Prévoyants

Commencez à penser à vos cadeaux de Noël.

mardi 22 septembre 2009

Bric à brac

Pas beaucoup de visites ici hier lundi.
Ça me laisse un peu de temps aujourd'hui, dont j'ai besoin pour remettre de l'ordre dans mes affaires après ces deux mois de pérégrinations.

Je suis sûr que ça va vous passionner : j'ai acquis hier un pichet électrique à faire le cappuccino.
Et même si ça vous indiffère quelque peu, je suis bluffé : en fermant les yeux, je suis à nouveau Villa Médicis.

Un (ex ?) admirateur de Carlier m'a fait part de son approbation de mon humeur d'hier concernant la prestation de Nadine, Guy, & Laurent samedi soir dernier.
Je prenais également un réel plaisir à écouter Carlier autrefois sur Inter ; et voici la statue déboulonnée.

N'hésitez pas à aller sur l'autre blog (piano) : franchement, on y parle piano, mais sans chichis.
Au contraire, j'essaie de dépoussiérer un peu tout ça et de donner envie aux d'jeun's de polir leurs oreilles.
Sans doute mon dernier grand combat (eh, oh, faut du temps !).

La Roque d'Anthéron, un matin d'août.
Alexandre Tharaud choisit son piano pour le concert du soir.

lundi 21 septembre 2009

Cette chère Nadine

N'ayant pas l'intention de vous gâcher le début de semaine, je n'illustrerai pas ce billet par la photo de la dame dont il va être question, une sainte pourtant si l'on en croit Guy Carlier qui est tombé bien bas pour nous vendre du papier imprimé, secouru (incroyable !) l'autre soir à la télé(sans)vision dans son entreprise de réhabilitation de Mme Morano* par Laurent Ruquier himself qui semble ces temps-ci vouloir corriger une "image" d'homme de gauche, cherchant un illusoire "consensus", bref jouant l'ouverture (on sait ce que ça veut dire) !
Au point de couper la chique en direct à ses deux chroniqueurs, les bâillonnant sur le sujet, nous laissant interloqués !
Car oui, même Eric Zemmour, le dangereux marxiste-léniniste que l'on sait, ne tombe pas dans le panneau, ne se laissant pas un instant fourguer la camelote de Carlier sur la prétendue "humanité" de cette femme dont le moins qu'on puisse dire, la voyant encore ce samedi à l'écran, est qu'elle n'inspire pas la génuflexion : ses interventions, sa manière, son agressivité permanente, suffisent à démolir la "thèse" de l'ex-bon chroniqueur d'Inter.
Le plus hallucinant dans ce fourbi audiovisuel étant donc l'attitude de l'animateur qui a décidé d'enfourcher sans ambages le cheval de bataille de ses invités.
Contre toute attente.

 *Faut-il rappeler, entre autres, la façon dont cette si gentille personne s'adresse à des "gens de couleur" sur un marché lors d'un campagne électorale, images que j'ai déjà transmises ici et que l'on peut encore voir sur le Net si l'on n'a pas peur de se couper l'appétit ?

jeudi 17 septembre 2009

Rome, encore !

Méli-mélo :

 
 Derrière les portes, l'état du Vatican.Le wagonnet sert-il à transporter des lingots d'or ?
  
 Tout un symbole
 
 Ici aussi ...
Et là, vision de Rome par JBD :


  
  Non, la haie d'honneur n'est pas pour moi.
 
 Jeux d'eaux à la Villa d'Este
 
MONTagne BLANChe vue d'avion ; il faut rentrer.

mardi 15 septembre 2009

France Télécom : problèmes réglés ?



C'est Gustave Parking qui a déniché ça sur youtube...

Ecran (très) large

Une projection du film "Baraka" en 70MM à Copenhague.

Ah le foot !

Un réalisateur dans un car régie pendant la retransmission d'un match :

lundi 14 septembre 2009

Oiseaux-lyres ?

Birds on the Wires from Jarbas Agnelli on Vimeo.

"Casse-toi, pédé !"

Les militants communistes ont bien changé, qui accueillent ainsi le ministre de la Culture.
L'an dernier, l'extraordinaire Christine Albanel avait eu droit à plus d'égards.
Inquiétant, non ?

Maintenant, il faut s'abonner pour lire sur écran la chronique hebdo de Daniel Schneidermann dans Libération.
C'est bien dommage, d'autant que celle d'aujourd'hui vaut son pesant d'Airwaves (ou de Freedent, chacun ses goûts).
Dans le document sur le bidonnage de la visite de Nick Sark en milieu ouvrier, j'ai moi-même été choqué par la désinvolture du "président", lequel mâche ostensiblement un chewing-gum pendant les explications des cadres et salariés.
Ça explique très clairement pourquoi l'antisarkozysme est "passionnel" par nature : c'est dû au comportement du chef d'état le plus trivial qu'on ait jamais eu.
Consultation des sms pendant la visite au pape, allusions permanentes à sa bonne fortune conjugale, sont, pour Schneidermann, que j'approuve à 100%, le signe de la confusion entre personne privée et fonction présidentielle bien dévalorisée par le personnage.
Comme il y a, dans cette parution de lundi, un excellent reportage sur Willy Ronis, une excellente étude de la crise financière sur trois pages et, surtout, un sondage qui nous apprend que 58% des français trouvent le bilan de Sarko sur la crise négatif, je suis bien content de l'avoir acheté.

Les explications d'Hortefeux ("je parlais des auvergnats !"), couvert par Fillon, sur ses propos nauséabonds, n'ont, j'en suis sûr convaincu personne.
Willem résume bien la situation dans le même Libé d'aujourd'hui.
Allez, je le scanne ; pour vous, c'est gratuit !

Aperitivo alla romana

L'apéritif romain est presque devenu un "avant-repas" qui permet d'attendre les plus belles heures de la soirée avant d'aller dîner en ville.
On est à mille lieues du ramequin de cacahuètes salées, peu hygiéniques au demeurant et à fuir en période d'épidémies diverses, servi en nos rades parisiens.
L'aperitivo, devenu là-bas quasiment institutionnel, réserve toujours d'agréables surprises gustatives.
Celui qui nous fut servi dans le patio de l'Hôtel de Russie, un luxe il est vrai, fut un véritable "regalo"* comme celui du "caffè" qui fait presque face à la Villa Medici.

François Simon était romain en même temps que moi et relate dans son blog des agapes mémorables en ce même hôtel de prestige qui jouxte la Piazza del Popolo.
Le "popolo" n'est pas convié à ce genre de festivités gustatives.

Dans le patio, les "blackberry" trônaient sur toutes les tables où émergeaient en injonctions des sacs LV, authentiques ceux-là, qui pullulaient dans cette belle enceinte réservée aux VIP.

Où l'on peut croiser le "critique incognito".


* Eh non, "regalo" signifie "cadeau".

samedi 12 septembre 2009

De si jolies choses

Sur l'autre blog, j'ai publié de bien jolies choses.
Je peux le dire sans prétention, car il y a notamment, sous forme de feuilleton, un très beau texte de la mamie d'un de mes petits élèves présent à La Roque d'Anthéron lors du séjour piano.
Les gamins avaient dit à leurs familles que les parents et grands-parents, selon un décret que j'aurais édicté, étaient persona non grata sur le site !
Ah les petits malins !
2 mamies nous ont donc suivi à la trace, en discrètes enquêtrices.

Le récit est poétique, tendre, léger comme les proses d'avant.
Lisez-le donc par le biais du lien, en haut à droite.

 Les Miss Marple ont fini par découvrir notre lieu de (presque) travail.
-Photo Ch.Lemaire-

jeudi 10 septembre 2009

Horrrrreur !

Rencontré aujourd'hui une personne grippée (mais laquelle, A, B, Z ?).
Terrifié, je suis.
J'ai pris 3 doses d'oscillococcinum et 2 dolicrâne.
On sait jamais.
Ndlr : combien de personnes sont mortes du Sida, aujourd'hui, en Afrique ?

Hortefeux tel qu'en lui même

Sans commentaire.

Y' a de tout.

La rentrée après les paradis estivaux, ça vous gifle comme ça, sans pitié, vous entraîne dans un maelström dévastateur.
Vous prenez dans les dents les vilénies électorales au PS, un tacle douloureux vous rappelle où en est notre démocratie, vous assistez impuissant au "débat" sur la taxe carbone sachant que de toutes façons c'est Nick qui va trancher, vous êtes rentré, quoi, rentrez la tête dans les épaules, faites le dos rond, attendez que ça passe ou attendez la mort qu'on vous annonce plus ou moins en forme de virus grippal inévitable.

Heureusement, Benjamin Biolay nous sort une fort belle chanson que j'entends dans une émission de radio emmenée par cette chère Pascale Clark qu'on retrouve enfin pour accompagner les matins brumeux à venir, par le truchement d'un service public qui réserve encore de bonnes surprises.

Sur cette même radio, de bon matin, état des lieux de la "démocratie" en Italie, en piteux état.
Ils concluent en nous rappelant à un peu d'humilité : il y a des points communs.
Et pas qu'un peu.

Sinon, lavez-vous les mains plusieurs fois par jour, etc.
On vous avait attendu, tiens !

mercredi 9 septembre 2009

Villa Medici I Il direttore

Direction de la Villa Médicis ; le gagnant est : M. Eric De Chassey.
Connais pas, mais qu'est ce que ça sonne bien !
Très Directeur de la Villa Médicis, quoi.

Villa Medici (Villa Médicis)

Avoir le privilège d'y être accueilli, c'est exceptionnel !

Vue partielle des jardins
Le cappuccino du matin dans ce décor...
avec cette vue...
et puis sortir pour ne pas manquer l'heure...
du Spritz !

Photos SylGazette I Tous droits réservés pour tous pays y compris la Principauté de Monaco.

Rome : du sublime à l'abject.

Rome, heureusement, ce peut être ça :

ou ça :


ou, hélas :


mardi 8 septembre 2009

Les déplacements de Monsieur le Président de la République

Si vous ne l'avez pas vu, ce reportage que j'ai découvert en rentrant.
Le chewing-gum est en sus !

Enorme. A diffuser !

Parlez-nous donc de la taxe carbone...

Rome, entre éblouissement et inquiétude.

Ville éternelle des croyants où se côtoient art chrétien et païen, Rome m'attendait fidèle à elle-même, animée, joyeuse, lumineuse, chaleureuse (voire torride !) quand, me dit-on Paris stressait sous les premières pluies de septembre.
On dit que depuis que Rome, jadis administrée par Walter Veltroni, homme de culture, et donc peu enclin à l'intolérance, a été remplacé à la mairie de la ville par un berlusconien ex-membre du MSI, parti issu du fascisme, élu sur des thèmes sécuritaires, les agressions xénophobes et homophobes se multiplient dans la ville, hors du regard des touristes qui ne peuvent que constater une présence policière accrue sur les principaux lieux du centre historique destinée à les rassurer.
Rome se débarrassant peu à peu de ses "roms", vous y croiserez fort peu d'arabes (autres que clients des palaces) ou de noirs, ce qui semble étrange et, que certains le veuillent ou non, quelque peu anachronique.
 La ville, en son "centro storico" donc, est clean sous tous ses angles et les vendeurs des boutiques pas obscures qui bordent la Piazza di Spagna en étalages bling-bling, peuvent dealer leurs fringues Gucci, Prada et autres D&G en se frottant les mains.

Il reste que cette ville paradoxale est certainement l'une des plus agréables à vivre au monde ; les romains jaillissent de leurs maisons le soir venu, "à la fraîche", en saison chaude et envahissent les multiples espaces de rencontres, piazze, campi qui jalonnent le parcours pour discuter, chanter, se jouer la comédie de la vie comme dans les films de Fellini.
On a vu ailleurs, suivez mon regard, des citoyens supposés sensés mener au pouvoir des personnages qui n'ont rien à envier à celui qui dirige l'état transalpin en matière d'exercice autocratique et médiatique du pouvoir (je rirais si ce n'était pathétique de ce que j'apprends, en rentrant, sur les errements de la communication sarkozyste où l'on convoque des figurants "de petite taille" pour la photo aux côtés de l'imperatore !).

Rome est un paradoxe, oui ; souhaitons que l'âme italienne reste ce qu'elle encore assez aujourd'hui : joyeuse, vive, colorée, chantante de telle sorte que l'arrivée à Orly vous remet en un clin d'oeil les pendules à l'heure : parler "sec", refus de renseigner le touriste égaré, "stressés stressant" prêts à mordre.
Le rêve est fini.

Tiens, je mets 2 photos d'aubergistes accueillants, dont le plus âgé exerce son activité de "direttore" depuis 1964 (!) avec le même amour du travail bien fait, guettant, de son poste en discrétion, le sourire du client satisfait et reconnaissant.

Tout près du Palais Farnese, l'Hostaria Farnese, via Baullari 109
C'est bon, honnête, et aimable.

lundi 7 septembre 2009

Eric Mie : une star aussi en Italie !

Le comédien-chanteur-chansonnier Eric Mie, récemment censuré en Lorraine s'est exilé vers l'Italie.
A raison : puisque nous avons pu constater qu'il est l'objet, à Rome, d'un véritable culte :

mercredi 2 septembre 2009

 
Je reviens très vite.
Baci.

mardi 1 septembre 2009

Un tian vaut mieux que...


D'ailleurs, François Simon change de crèmerie en cette rentrée : il passe de Paris Première à Direct 8 pour sa chronique hebdomadaire.

Fouloulou, ça va pas être facile !

Pourquoi viens-je si tard ?
Je me suis lâché ailleurs ce matin, sur pianomajeur (lien à droite ; c'est d'ailleurs l'un de mes rares liens à droite, hi, hi !).
J'y ai annoté un article sur le piano Fazioli, rédigé un billet sur mes disques du matin dont je suis assez content, ayant retrouvé une photo (Tharaud dans mon bol de café !) insérée dans l'un des tout premiers articles de cette sylgazette.
Hier, j'y avais placé un "papier" sur "neige de l'hiver", surnom donné par mes élèves en balade au gentil... Denijs De Winter.

J'ai écouté Guillon ce matin sur Inter, qui disait bien fort ce que je dis à qui veut l'entendre sur cette affaire des 3000 évadés fiscaux de M.Woerth : en résumé, et je suis bien d'accord, on invente cette histoire pour dire aux "pauvres" : "voyez comme, en temps de crise, on fait panpan cucul aux vilains riches" !
Je me permets d'être d'accord, en outre, avec ce socialiste (je ne sais plus lequel) qui parle d'amnistie fiscale déguisée : "allez, soyez cool, les "très riches", dénoncez-vous et vous serez pardonnés !".
Amen.

Hortefeux, lui, est obligé de reconnaître partout que la délinquance a augmenté, malgré les rodomontades de son patron depuis 2003 où ce dernier était ministre de l'intérieur.
C'est un peu nullos d'avoir établi sa notoriété sur un truc qui s'avère bidon de chez bidon (cf. "expressions naze").
S'il ne s'agissait de violences faites à personnes, principalement, on pourrait s'en esbaudir.
Hélas...

Sinon, je m'attarde rarement devant les pubs à la télé(sans)vision.
Mais la dernière que j'ai vue pour un fastfooder célébrissime vaut son pesant de cholestérol : "ils" nous délivrent ce très beau message comme quoi on peut aller dans leurs pseudo-restos habillés comme on veut, coiffés comme on veut aussi, et tout ça.
On comprend bien leur démarche commerciale : "ailleurs, dans les "vrais" restos, ô jeune public, tu peux pas être comme tu es : forcément crade, mal éduqué, inculte, louche quoi !"
"Chez nous, tu peux venir en caleçon si tu veux, mettre tes doigts dans ton nez et les pieds sur la table ; nous, on vous comprend, etc.".

Vous y verrez peut-être un parallèle subtil.
L'autre jour, un jeune homme demande à un autre "jeune" ce qu'il écoute par le truchement des oreillettes de son balladeur.
L'autre, avant de remettre son appendice auriculaire, lui répond distraitement (et discrètement) :
"Schubert !".
Et vous voudriez que j'aie quelque chose contre les jeunes ?

Bon, c'est pas tout, j'ai une rentrée scolaire en vue ainsi qu'une nouvelle saison au théâtre.
Deux activités dont j'espère qu'elles pourront se dérouler normalement en ces temps annoncés d'épidémie.
A ce sujet, je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais je ne m'imagine pas du tout faisant la queue au gymnase Ronsard pour me faire vacciner (administrer, donc, des adjuvants dont on ne sait rien, un vaccin même pas encore autorisé à la mise sur le marché).

Mais je me lave les mains vingt fois par jour.