Humeurs, humours, musiques, cinéma, et autres libertés provisoires.
mercredi 28 février 2007
MONA
Aux "Victoires de la Musique Classique", en direct de la salle Pleyel, au coeur du choeur ... de la Maîtrise de Radio France, sur une mélodie adaptée de la sonate dite "Clair de lune" de Beethoven.
Regardes tu passer un rêve ?
Vivement mercredi prochain : Mozart nous attend !
Avant qu'il ne soit trop tard
http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/elysee_2007/20070227.OBS4464/avant_quil_ne_soit_trop_tard.html
Ainsi, ils n'ont pas tous déserté !
COMEDIENS EN ETAT DE GRACE
Scandale inadmissible : vive le mou, à bas le dur !
Oh, messieurs les cafetiers, ne croyez pas vous en sortir à bon compte : vous aussi participez à ce complot que personne, à ma connaissance, n’a dénoncé jusqu’ici.
Jusqu’aux patrons de certaines brasseries qui se laissent aller à cette navrante pratique que je qualifierai de fasciste, et je pèse mes maux.
Pourquoi les nantis, les stars du cinéma et autres milliardaires seraient ils les seuls à profiter du mou alors que le voyageur lambda, le client de « Chez Jenny » moulu par une journée de car sur les routes verglacées au son de Radio Nostalgie, la mère de famille en vacances à Palavas les flots, flanquée de Ryan et Sharon insupportables et d’un mari embierré engraissé au Barthez, n’ont à se mettre sous la dent, c’est le cas de le dire, qu’une substance avoisinant le galet d’Etretat, surtout quand elle est salée.
Oui, vous l’aurez compris, je stigmatise aujourd’hui ces petits morceaux de béton empaquetés que les sadiques ci-dessus osent nous jeter lors de petits déjeuners gâchés à jamais, ou en accompagnement d’une assiette de bulots cuits qui, en ce qui me concerne, représentent le nec plus ultra du souper d’après spectacle.
Dans un cas comme dans l’autre, l’horreur vous attend, nichée dans son aluminium « indéchirable » (là, je me gausse), et j’imagine la « Jenny » planquée derrière son comptoir, ricanant d’une joie sadique et vengeresse.
Vous ouvrez avec fébrilité, après l’avoir tâté, effondré, votre beurre tout dur que vous allez devoir étaler sur la fine tranche de pain de seigle de rigueur ou sur le pain industriel d’une blancheur immaculée qui vous fera trouver la rime adéquate pour désigner ceux qui ont osé soumettre cette chose à votre appétit matutinal.
Si, comme moi souvent, vous n’avez pas pris soin de vous munir d’un couteau plat, pas pointu, hein, et, très important, « à dents », je crains de devoir vous prévenir que vous ne vous en sortirez pas !
Vous prélèverez dans ce petit pavé d’un centimètre et demi de côté (un seul par personne, eh oh, on est pas au Carletone) un toc de ce produit laitier que vous tenterez de tartiner en vain :
immanquablement la matière traversera le « pain » et se retrouvera lovée au creux de votre main.
Le mystère ne sera, en toute vraisemblance, jamais éclairci : pourquoi TOUS les hôteliers catalogués « budget » et « prix moyen » par le Guide du Routard, et leurs collègues choucroutiers, se sont-ils donnés le mot ?
Ségolène, faites quelque chose !
Avec un tranche de pain grillé ?
mardi 27 février 2007
Pour mon anniversaire, je veux :
Come in musica i suoni si organizzano in consonanze e dissonanze, così le forme e i colori di M. Liminal si fondono in forme asimmetriche ma ordinate.Ispirandosi al mare, la forma del fianco ricorda il profilo di un’onda, mentre il colore nero-argento richiama quello di un delfino.Il rosso della tavola armonica e il nero del telaio di ghisa filtrano attraverso le trasparenze del leggio in plexiglas.
Humilités et cloclomania.
J'avais 14 et 15 ans !
Il y a du Debussy (2 extraits de Children's Corner et une "arabesque"), du Chopin (Etude 7 de l'opus 25), du Chabrier (Bourrée Fantasque), du Liszt (Etude de concert : La Leggierezza) et la sonate en sol min. de Schumann que je ne me souvenais pas avoir jouée.
Les disques, épais comme des panisses, sont très abimés : ça crache, saute parfois et les saturations sautent à l'oreille.
Les preneurs de son étaient dans de petites cabines démontables et couvraient les concours sur toute la région (de Menton à Marseille).
J'ai écouté ça avec beaucoup de recul, comme je le ferais d'un élève : c'était excellent (presque toujours) et je comprends mieux le libellé de ces papiers cartonnés intitulés diplômes que je tenais pour de dérisoires colifichets.
J'aimerais bien jouer aussi bien ce répertoire aujourd'hui.
Je me plante pas mal dans le Liszt (c'était en 68, je n'avais pas assez travaillé, c'était les premiè-res amours...), mais la sonorité et la technique sont bel et bien là.
Le Chopin est superbe mais un peu "sec" : c'est sans doute la seule oeuvre que je joue mieux aujourd'hui, plus mûr, plus au fait des choses de la vie.
Dans la sonate de Schumann, je me suis bluffé.
Je vais la réécouter par Guilels : ça me calmera.
Je cherche quelqu'un pour transférer tout ça sur cd.
Rosa, Louise, et les autres ...
A lui seul, il maintient le Libé qu'on a tant aimé.
http://www.liberation.fr/rebonds/237543.FR.php
lundi 26 février 2007
YELLOW SUBMARINE
dimanche 25 février 2007
PUBLICITE MENSONGERE
Si la fnac a manqué d'humour, le commerçant du souk de Marrakech, lui, ne manque pas de ressources !
VIVE LA SOCIAL-ECONOMIE
Mondanités
Quant on regarde l'historique du monsieur, ex-ministre de Balladur, trop trouillard pour faire la moindre réforme au ministère de l'éducation, puis soutien sans faille au gouvernement de Raffarin et, tournant casaque lors du CPE pour voter la censure avec le PS (mon Dieu, vous rendez vous compte, ma soeur ?) dans la perspective évidente de l'élection présidentielle qui pointait à l'horizon, on a le droit de s'apitoyer sans aucune méchanceté pour ceux qui, au détour des dîners en ville, tels Saint Paul sur le chemin de Damas, ont eu la révélation divine de l'homme qui a vu l'homme ...
On versera une larme de compassion ou on se fendra la gueule : comment des citoyens apparemment en pleine possession de leurs moyens peuvent-ils tomber dans ce panneau ?
Entre une gauche qui se veut progressiste et la droite très à droite de Sarkozy, Bayrou (-flaquettes, j'ai pas pu résister) est LE candidat conservateur.
On dépensera rien : normal, on va rien bouger !
Le pire, c'est qu'on retrouve, dans cet électorat qui a perdu sa boussole, les mêmes qui, en 2002 ont choisi leur candidat de premier tour comme on choisit son café dans les rayons de Carrefour (le centre est toujours au carrefour, d'ailleurs).
Nonobstant que nos nouveaux centristes, mêlant leurs voix à la "droite modérée" d'obédience catholique, ne veulent pas comprendre que Le Pen est, comme toujours, sous-estimé par les sondages, ils feignent de croire le discours "union nationale" du candidat de l'udéèffe.
DSK (ouais, "j'le prendrai volontiers comme premier minisse") ayant décidé, avec Jospin et d'autres, de s'investir enfin vraiment dans la campagne de Mme Royal, on peut se demander, le monsieur une fois élu, avec qui il gouvernerait.
Nos amis égarés dans le marigot bayrouiste savent pertinemment, ou peut être pas, que :
- entre les deux tours, qu'il soit 3ème ou, plus probable, 4ème, ce bon Monsieur François ne donnera pas de consigne de vote.
- que les députés de son groupe ont été élus avec le soutien de l'uèmepé, et que, s'il déconne, la même uèmepé leur mettra des candidats dans les roues.
Oui, mais voilà, ils n'aiment pas la voix de Ségolène, ou ses tailleurs, ou sa façon de marcher.
Ou ils "pensent" (tu parles : la propagande médiatique l'a tambouriné !) qu'elle est incompétente.
Enfin, sans doute moins compétente qu'un mec.
Femmes
samedi 24 février 2007
"SARKO IZNOGOUD"
jeudi 22 février 2007
MEZE
C'est en face de Sète, près de Bouzigues où l'on pratique la conchyliculture...
Ne cherchez pas plus longtemps et cessez vos jeux de mots stupides :
"Chez Tintin", au bord de l'étang de Thau, on déguste les produits des conchyliculteurs voisins.
Force de l'image, "compassion" et gloses diverses
C'est ce moment là que, mardi dernier, instinctivement, j'ai choisi de saisir.
Je pressentais la réaction incontournable des salauds de service qui n'allaient pas manquer de gloser, j'en étais persuadé, sur l'attitude de cette femme dont "on" guette la moindre défaillance, le moindre vacillement.
Que faire devant les sanglots à peine réfrénés de cet homme malade à l'évocation du décès d'un ami.
Le piège se constitue de lui-même : elle reste à sa place, imperturbable, et l'on dira que cette femme est un monstre de froideur; elle manifeste son émotion, s'approche, comme ce fut le cas, et le candidat d'en face s'empare de l'évènement pour taxer avec dédain son adversaire de "compassion", ce mot éructé comme une insulte.
Pour une fois, il est évident que c'est la réaction à l'action qui se révèlera contre-productive.
Elle révèle la vraie personnalité du candidat de la majorité sortante : je suis certain que ce manque de compassion déclaré en aura édifié plus d'un(e).
lundi 19 février 2007
EXIL PROVISOIRE
Papon
Je n’ai pu me retenir de faire rire avec Papon hier soir au théâtre.
J’en conçois quelques regrets après coup : je n’ai pas coutume de me réjouir d’un décès, quand bien même s’agit-il de celui d’un personnage aussi répugnant.
Le cirque médiatique autour de l’exécution de Saddam Hussein, tout récemment, m’a mis très mal à l’aise.
La môme (encore !).
Regain d’affluence au Père Lachaise autour de la tombe d’Edith Piaf et brassées de fleurs fraîches, dû sans doute à la sortie du film et au battage médiatique qui l’entoure.
L’employé du cimetière déclare au « Journal du dimanche » : « il n’y a plus personne chez Jim Morrison ».
Je préconise un Top 50 des sépultures.
L’été dernier avec l’ami Socrate, lors d’une balade en Ile de France, visite du petit cimetière de Dannemois où repose, après s’être tant démené, le chanteur Claude François.
La tombe serait discrète sans la présence d’une statue de bronze, monument d’art pompier, érigée par des admirateurs belges.
Allez-y (je plaisante !) en août : nous n’y rencontrâmes qu’une famille de « ch’tis » en goguette déçus de ne pas avoir accès au « moulin », ancienne demeure de l’idole foudroyée (comme on dit dans « Le droit de savoir ») fermée au public précisément ce jour-là.
J’imagine qu’après la sortie de « Podium », on constata une hausse des entrées au cimetière de Dannemois.
On dirait le sud.
Nous joindrons l’utile à l’agréable, le plus important étant un saut à Sète pour déguster une « bourride à la sètoise ».
La bourride est une sorte de bouillabaisse en moins … léger.
Elle se prépare généralement avec de la lotte qui baigne dans une sauce aïoli, accompagnée de
C'est la spécialité de cette Sète, sept fois chère à Brassens et à Paul Valery.
J'y étais mais ... pas de bourride.
samedi 17 février 2007
vendredi 16 février 2007
jeudi 15 février 2007
La môme (suite)
[Je n'ai pas du tout trouvé le montage incohérent, bien au contraire. Le fait de ne pas tenter la biopic classique et linéaire, partant de la naissance pour aller jusqu'à la mort, évite au film de s'embourber justement dans les pièges du genre. Et tout est toujours très cohérent (à une ou deux scènes près peut-être) dans les passages d'une époque à l'autre, il y a toujours un lien. Quant à la fin douloureuse que je ne spoilerai pas non plus, n'est-ce pas agréable dans une biopic de ne pas avoir droit à 50 minutes de pathos sur le grand désarroi de jeunesse qui a tant condamné la femme et bla et bla et bla... Il n'y a qu'à voir des films comme "Ray" ou "Walk the line" pour voir ce que ce genre de parti-pris peut avoir d'insupportable.]
J'ai, en tout cas, beaucoup apprécié "Walk the line", biographie de Johnny Cash, chanteur américain qui, pourtant, ne figure pas au rang de mes incunables.
Pour revenir à "La môme", le ciné-télé Obs de cette semaine lui décerne 3 coeurs.
Les Inrock's ont détesté (mais que ne détestent-ils pas).
Voyez le de toutes façons pour vous faire votre propre opinion.
C'est ma tasse de thé.
mercredi 14 février 2007
LA MOME
mardi 13 février 2007
AUTHENTICITE
Eh bien non, E......, c'est absolument authentique !
(Cliquetez donc sur "sketch hollande" ci-contre.)
Café de Flore
Las, la mousse de l'espresso ne permet pas ce genre de fantaisie.
Le 7/9 de France Inter s'est transporté ce matin au Café de Flore : c'est Max Gallo, déclamant un panégyrique à Sarkozy qui me réveille.
On peut rêver mieux comme début de journée.
Ce monsieur écrivit autrefoir une biographie intitulée "Le grand Jaurès".
Il est passé depuis du XXL au S.
Heureusement, Carlier me console d'une chronique consacrée aux seins d'Arielle Dombasle, avec une référence à une chanson de mon révéré Julien Clerc.
Comme le dit le grand philosophe Paul Adam : "On dit les pires choses sur les blondes.
Mais prenez (!) Arielle Dombasle : si elle était pas blonde, elle serait con quand même".
On a oublié, semble-t-il, que le Flore, café littéraire, fut aussi un haut lieu de la follitude parisienne.
Sa terrasse, jusqu'aux années 80, offrait, le dimanche à l'heure du petit déjeuner, vers 16h, donc,
un spectacle haut en couleurs vives : c'est là, sans doute, que Roselyne Bachelot a puisé ses références vestimentaires.
Aujourd'hui, St Germain s'ennuie dans ses boutiques de fringues de luxe et il n'y a plus de drugstore pour les minets.
Tout fout le camp, ma bonne dame.
lundi 12 février 2007
CINE MAISON CINE SALLE
Mon cinoche préféré at home.
Je vois quasiment un film par jour (ou ... par nuit !).
Régulièrement, projections pour les amis :
soirées "Scorsese-Merguez" ou "Coppola-Paella", découverte des grands classiques ou de films récents dont certains achetés en import.
Dernière acquisition : "The departed" (Les infiltrés) de Scorsese.
Encore une soirée merguez en perspective.
LE SKETCH DE FRANCOIS HOLLANDE
CETTE FEMME SERA-T-ELLE NOTRE AVENIR ?
Nous étions nombreux que le doute quelque temps effleura : comme si l'on ne connaissait les procédés ancestraux de la droite (manipulations, intox, mise en coupe réglée des principaux médias).
Le couple Royal/Hollande s'est (enfin ?) bine réparti la tâche : le matin, François (dont les "commentateurs" ont voulu nous faire croire, avec succès semble-t-il, qu'il n'avait aucun charisme) s'est livré à une attaque en règle contre le ministre-candidat-chef de parti.
On savait que l'homme était doté d'un sacré sens de l'humour: en cours de discours, il nous a fait un véritable sketch sur le droit opposable, un numéro de haute volée, sans notes, délirant.
J'ai d'ailleurs suggéré à mon député Christophe Caresche, qui a passé la journée avec nous et non avec les huiles, c'est à signaler, que si, un jour, Hollande cherchait un job, je connaissais un Hugues qui l'engagerait volontiers.
J'essaie de vous trouver un verbatim rapidement.
Ce hall d'expositions de Villepinte est gigantesque; et je vous certifie qu'il était plein !
Dès 10h du matin, un flot ininterrompu de militants et de sympathisants s'écoulait vers ... l'autel.
Vers 12h30, il fut annoncé que des sandwiches étaient offerts.
Le hic, c'est qu'ils n'en avaient préparé que pour 6000 personnes !
Renonçant, nous avons trouvé de quoi se sustenter à une baraque, sur le parking.
Député compris, nous avons dégusté des merguez froides dans du pain à peine dégelé accompagné de frites qui étaient une insulte faite à Mauroy !
Pendant ce temps, la foule continuait à envahir le lieu, et l'on voyait les cloisons disparaître au fur et à mesure comme chante l'autre.
Moment d'émotion, la présence d'un petit élève de 13 ans, fils d'une comédienne et d'un cinéaste célèbres, revêtu d'un t'shirt aux couleurs de la candidate, et bardé d'auto-collants des MJS.
La suite a été, assez objectivement, relatée dans les journaux télévisés du soir.
Mais il fallait y être pour saisir vraiment l'importance de ces deux heures marquant indéniablement un tournant dans la campagne.
On aura remarqué que le camp adverse glosait sur ce "discours fleuve".
La veille encore, les mêmes disaient qu'elle n'avait rien à dire !
Pour résumer donc, un vrai discours de gauche, avec les propositions qui vont avec, détaillées avec une force de conviction contagieuse.
J'ai particulièrement apprécié les propositions en matière sociale (of course) et que l'éducation soit une vraie priorité; la recherche aussi, actuellement négligée par ceux là même qui nous disent qu'ils feroint mieux demain en la matière.
Bien sûr, il y eut ce passage très fort, que vous avez sans doute vu, où Mme Royal, plus qu'émue, aborde la crise des cités, ses causes, alors que (on ne nous le dit pas), une étincelle suffirait pour relancer la guérilla urbaine dans les cités, et, a-t-elle prévenu, bien au-delà de cette zone géographique.
Le devoir de responsabilité sur l'Afrique, proclamé haut et fort, doit nous interpeller tous.
Si vous en êtes conscients (j'espère) ou voulez vous y intéresser je vous renvois au discours en son verbatim.
Pour télécharger en pdf le discours et le programme, c'est là : http://www.desirsdavenir.org/index.php
Je déblogue avant de revenir sur tout autre sujet.
BLOG A PART
je fus long à me décider : certains penseront que, vu mon grand âge, j'aurais peut être dû m'en tenir à griffoner un journal "à l'ancienne".
Mais j'ai tenu à prouver que, moi aussi, je dominais l'outil internet.
Je viendrai ici le plus régulièrement possible donner mon sentiment sur tout ... et rien.
Pêle-mêle, mes considérations, que le monde entier attendait, sur les arts, la vie quotidienne, la société, la politique (original, actuellement, non ?) et le plus souvent sur ce qui me fait rire en ce bas monde, ce qui aide à vivre, quoi.
Vous constaterez sur la photo en-tête, que Mozart n'était qu'un imposteur : à 2 ans, je jouais déjà la Toccata et Fugue en ré mineur de Bach sur ce petit accordéon.
J'en ai gardé, dit-on, un caractère ... aimable.
Bonne lecture et commentez si vous le sentez.